Imaginez la dopamine comme un tapis de course avec un contrôle de vitesse sournois. Les distractions numériques le mettent en mode sprint. Le travail ? C'est une promenade tranquille, qui semble tortueusement lente. La solution n'est pas de sauter dans un coma de dopamine, mais de revenir à un jogging durable où la promenade redevient revigorante. Je l'appelle le "Tapis de course de la dopamine". Des coups répétés de haute récompense accélèrent automatiquement le rythme de votre cerveau, rendant les tâches à faible récompense (le travail) impossibles jusqu'à ce que vous imposiez une limite de vitesse. Aucune abstinence ne "réinitialise les attentes" du jour au lendemain, c'est l'absence d'escalade qui ralentit progressivement le tapis, restaurant le coup relatif du travail.