l'un des problèmes fondamentaux de l'immigration est simplement la vitesse. Lorsque vous faites entrer d'énormes populations plus rapidement que la culture ne peut absorber, vous obtenez des civilisations parallèles plutôt qu'une assimilation. Le Canada en est un exemple clair. Un afflux massif d'Indiens, mais le résultat est des enclaves indiennes discrètes plutôt qu'un ethos canadien partagé. Le Minnesota est un autre exemple. La même chose s'est produite en Europe et en Allemagne. L'osmose mémétique prend juste du temps. Lorsque vous inondez la zone de personnes, les groupes ont tendance à se replier sur la préservation culturelle. Si l'immigration est délibérée, rythmée et organisée autour de valeurs communes, vous débloquez le potentiel qui est le talent, la confiance, le sentiment d'appartenance et un récit civique cohérent. Mais si vous précipitez toute cette putain de chose, et que le tissu social cesse de se tisser et que tout le monde construit juste son propre quilt. Une immigration sélective lente = évolution adaptative. Une immigration massive et rapide = transition sociétale. Cette dernière n'est bonne pour personne.