Loot Survivor est une ARENA, pas un "petit jeu amusant". C'est plutôt un tournoi de poker bsd, pubg erangel, ou échelle d'échecs : vous jouez pour l'avantage, la réputation et la valeur. Le classement est le tableau de score, votre parcours est totalement inviolable et entièrement sur la chaîne. Mais pourquoi diable avons-nous besoin de la blockchain pour cela ? Le déverrouillage est la surface du prix. Les NFTs bêtes sont rares, uniques et 'composables' (le mot à la mode que tout le monde utilisait mais que personne n'a livré). Ils ne sont pas enfermés dans un seul client de jeu. N'importe qui peut construire de nouvelles expériences sur les mêmes Bêtes et la même économie, sans autorisation. Comme LEGO, mais sans les murs juridiques. Les mêmes briques, des modèles nouveaux infinis. "Summit" est la première preuve : un spin-off PvP compagnon (par la même équipe) et une extension d'arène autonome qui transforme les Bêtes en unités actives avec une utilité et des récompenses continues. Cela convertit "Je possède cette Bête" en "cette Bête peut gagner, se battre et avoir de l'importance." Le point plus profond : c'est un DeFi gamifié auquel les gens veulent réellement participer. L'économie est alimentée par des motivations humaines : gagner, statut contre amis, être précoce, collectionner des actifs rares et pousser la maîtrise. Ces motivations entraînent le grinding. Cette activité alimente l'économie du jeu à travers $SURVIVOR, $LORDS, $STRK et les tokens de ressources. Une extension potentielle est également native à Starknet et permet le staking liquide de $BTC. Chaque nouvelle extension ajoute un autre puits et une autre raison de posséder plus de Bêtes, de jouer plus de parcours, de mourir plus et de construire plus de choses. Flywheel. Ne mourrez pas.