Le président serbe Aleksandar Vučić : Nous avons certaines choses dans notre coffre-fort. Ce n'est qu'une question de temps avant que nous les montrions et les rendions publiques. Nous avons évité de le faire afin de ne pas offenser certaines des grandes puissances, car elles exercent toujours une pression énorme. Il n'y a plus de raison de le faire. Nous sommes acculés au mur, et nous nous battons pour ce qui est à nous—nous défendrons et protégerons ce qui est à nous.