Francesca Albanese : « Les sanctions américaines font de moi une non-personne. Je ne peux pas exister dans l'économie mondiale. Je ne peux pas avoir de carte de crédit. J'ai besoin d'emprunter de l'argent. J'avais une chambre d'hôtel réservée à mon nom, par le Parlement européen, et elle a été annulée. »