Réflexions sur Thanksgiving : Questions que je pose tout le temps : Pourquoi diable suis-je ici ? Pourquoi sommes-nous ici ? Ce qui a commencé comme une exploration financière est devenu un aimant spirituel. Pourquoi ? Les conclusions auxquelles j'arrive personnellement : L'art est important. L'art - et son humanité associée - prend de l'importance à mesure que nous nous précipitons vers un avenir accéléré qui intègre et priorise la machine. L'art est en train de changer. Atteindre une forme de propriété numérique consensuelle est une forme d'arrivée pour un parcours artistique numérique de plusieurs décennies. C'est sans aucun doute l'art de notre époque. C'est palpitant d'y participer. L'art est lié à son marché. D'une certaine manière, cela le freine, le fige. Pourtant, le marché plus large de la blockchain et son paysage social débloquent des innovations et fournissent des rails plus clairs pour les connexions artiste-collectionneur. C'est spécial. Cela a attiré l'attention des maisons de vente aux enchères, des institutions, d'Art Basel, et au-delà. Il y a une conclusion de plus. C'est le principe de ce post et du jour qui nous occupe. L'art, c'est les gens. Parfois, l'espace semble petit, et pourtant voici un point de données. Le DAM Show a accueilli 54 épisodes cette année avec 167 invités, et il y a un sentiment constant et lancinant de ne pas en faire assez. Pas même près de faire assez. Les personnes qui sont ici à participer - de quelque manière que ce soit - sont inspirantes. Vous m'inspirez. Où allons-nous tous à partir d'ici ? Certains vous diront que l'espace reste pertinent et devient largement de l'art contemporain. D'autres vous diront que l'espace est mort et dévoré par l'infrastructure traditionnelle. Certains changeront régulièrement d'avis et sembleront très certains quand ils le feront. La réalité très probablement écrasante est que nous nous précipitons vers un milieu difficile et désordonné. Un milieu qui n'est pas déterministe mais qui est influencé *maintenant* par chacun d'entre nous dans une collision presque infinie d'effets papillon. Pas de pression. L'avenir, c'est nous. C'est vous. C'est votre vision, vos visuels, vos mots, votre contexte, votre ton, vos associations, vos investissements, vos priorités, vos curations....