La question n'est pas de savoir si la politique vise l'épanouissement humain. Personne ne débat de cela. La question est de savoir quel est le socle sur lequel une politique civique est fondée. Aristote croyait que c'était l'amitié, tandis que les libéraux croient que c'est l'idéologie. L'amitié crée des liens, l'idéologie les brise.