Les créateurs de Web2 résistent au web3 car cela les oblige à penser comme des actionnaires, et non comme des créateurs de contenu. Dans le web2 : vous possédez votre contenu, le public regarde juste pour le divertissement/l'éducation/etc. Dans le web3 : votre public possède des actions en vous. Chaque publication affecte leur portefeuille. Ce passage de "créer ce que je veux" à "créer ce qui maintient la valeur pour les détenteurs" ressemble à une trahison, même quand il ne s'agit que de transparence. L'adoption massive ne se produira pas tant que les créateurs ne commenceront pas à voir les tokens comme un partage de la valeur plutôt que comme une vente d'actions.